je vis dans le département 22, voici 4 ANS je me suis retrouvé sans logement du coté de lannion, la préfecture, les services sociaux, la mairie de la commune ou j etais, savaient ma situation.J ai été balladé de bureaux en bureaux j ai essuyé un refus d habitat armor HLM d un logement, alors qu ils en avaient de vacants ( motif du refus: Monsieur est peut etre un insociale incapable de vivre de facon autonome dans un logement nous l orientons sur des structures de type urgence qui bien sur etaient tous occupés). il y a aucune volonté, des élus, des travailleurs sociaux, de l Etat, de regler ce probleme de logements aux plus démunis, le sujet dérange aussi chacun se rejette la balle en permanence. Ce n est pas des foyers qu il faut pour permettre à une personne de dormir une nuit et passer sa journée dehors, entassés tel des animaux ou des repris de justice dans de petites maisons avec toute la promiscuité, le manque de sécurite, et la violence que ca peut générer. A cette époque, apres bien des démarches si je n avais pas eu une amie pour me prèter sa maison de vacances j aurai passé l hivers dans la rue et peut etre j en serais mort. les sans abris, les pauvres sont traités tels des inadpatés,des insociaux,des délinquants, en France on est de suite jugés , condannés, à cause de notre infortune. Bien sur, ce systeme fini par donner raison aux institutions, à l Etat, car une personne qui a passé trois mois dans la rue ne sera plus jamais la meme et aura bien compris que la société a voulu le condanner, à crever dans la rue. il est temps de forcer les élus, les travailleurs sociaux, les membres du gouvernement à aller se receuillir sur les tombes de tout ceux qui sont morts dans la rue en france depuis l appel de l abée Pierre en 1954. Il est temps de donner les moyens aux associations qui aident les plus démunis, à pouvoir se porter partie civile, pour porter plainte contre ses memes institutions et l Etat pour non assistance à personnes en danger, car la rue est un danger et chaques années des hommes et des femmes y meurent. Ce n est pas des acceuils d urgence qu il faut mais bien des logements individuels de petits studios pour permettre à ceux là de ne plus vivre la rue et retrouver leur dignité , et etre enfin en sécurité. L ETAT SE MENT ET ment à tous,de plus en plus de gens connaitront la rue( augmentation des loyers, le chomage, des charges liées à un logement) et tout cela en toute oppositon avec la loi galo, qui doit permettre à tous d etre logés correctement.
je vis dans le département 22, voici 4 ANS je me suis retrouvé sans logement du coté de lannion, la préfecture, les services sociaux, la mairie de la commune ou j etais, savaient ma situation.J ai été balladé de bureaux en bureaux j ai essuyé un refus d habitat armor HLM d un logement, alors qu ils en avaient de vacants ( motif du refus: Monsieur est peut etre un insociale incapable de vivre de facon autonome dans un logement nous l orientons sur des structures de type urgence qui bien sur etaient tous occupés).
RépondreSupprimeril y a aucune volonté, des élus, des travailleurs sociaux, de l Etat, de regler ce probleme de logements aux plus démunis, le sujet dérange aussi chacun se rejette la balle en permanence.
Ce n est pas des foyers qu il faut pour permettre à une personne de dormir une nuit et passer sa journée dehors, entassés tel des animaux ou des repris de justice dans de petites maisons avec toute la promiscuité, le manque de sécurite, et la violence que ca peut générer.
A cette époque, apres bien des
démarches si je n avais pas eu une amie pour me prèter sa maison de vacances j aurai passé l hivers dans la rue et peut etre j en serais mort.
les sans abris, les pauvres sont traités tels des inadpatés,des insociaux,des délinquants, en France on est de suite jugés , condannés, à cause de notre infortune.
Bien sur, ce systeme fini par donner raison aux institutions, à l Etat, car une personne qui a passé trois mois dans la rue ne sera plus jamais la meme et aura bien compris que la société a voulu le condanner, à crever dans la rue.
il est temps de forcer les élus, les travailleurs sociaux, les membres du gouvernement à aller se receuillir sur les tombes de tout ceux qui sont morts dans la rue en france depuis l appel de l abée Pierre en 1954.
Il est temps de donner les moyens aux associations qui aident les plus démunis, à pouvoir se porter partie civile, pour porter plainte contre ses memes institutions et l Etat pour non assistance à personnes en danger, car la rue est un danger et chaques années des hommes et des femmes y meurent.
Ce n est pas des acceuils d urgence qu il faut mais bien des logements individuels de petits studios pour permettre à ceux là de ne plus vivre la rue et retrouver leur dignité , et etre enfin en sécurité.
L ETAT SE MENT ET ment à tous,de plus en plus de gens connaitront la rue( augmentation des loyers, le chomage, des charges liées à un logement) et tout cela en toute oppositon avec la loi galo, qui doit permettre à tous d etre logés correctement.