Occupation par le DAL 35 de l'ancienne école du Gacet
Lundi matin, 31 août, le collectif DAL 35 a investi l'école désaffectée du Gacet, bd du Portugal à Rennes.
Une dizaine de personnes, dont un nourrisson de 11 mois, un enfant de 7 ans et une femme enceinte ont donc pu trouver un toit pour la nuit.
L'école du Gacet, où siègent diverses associations, n'est certes pas un lieu d'hébergement approprié. Ces nombreuses salles de classe vides ne peuvent servir que brièvement de lieu d'accueil et nous ne pensions pas devoir y rester. Nous souhaitions avant tout avoir l'autorisation provisoire d'investir les dix anciens logements de fonction, libres et sans attribution depuis plus de six mois, attenants à cette école.
Et réaffirmer, contrairement aux discours tenus, qu'ils existe des solutions d'hébergement non exploitées en dépit des urgences à satisfaire.
Bien que avertie dès notre arrivée de notre présence, la ville de Rennes n'a pas souhaitée nous contacter malgré notre insistance à vouloir rencontre l'élu de permanence.
Pas plus que dans la journée elle ne jugera utile de répondre aux sollicitations des journalistes présents.
Curieuse attitude que de ne pas vouloir constater officiellement une occupation quand dans le même temps on juge utile de faire déplacer deux cadres municipaux, sans mandat particulier, et une escorte de la police municipale.
Et surprenante idée que de venir avec les clefs des appartements convoités, d'en vérifier l'intégrité, avant même de se présenter ou d'établir un premier contact avec les éventuels occupants.
Penser qu'on puisse nous parler de non conformité des lieux, de possibles altérations de matériel pour promouvoir un retour à la rue sans condition, nous horrifie.
Nous agaçons particulièrement comme nous sommes particulièrement agacés du trop peu d'intérêt accordé aux personnes en situation d'extrême précarité.
Les réquisitions nous semblent appropriées dans un État de droit pour garantir la sécurité des personnes et leurs droits fondamentaux.
Le DAL 35 redemande, ici publiquement, leurs applications immédiates aux autorités concernées.
Lundi matin, 31 août, le collectif DAL 35 a investi l'école désaffectée du Gacet, bd du Portugal à Rennes.
Une dizaine de personnes, dont un nourrisson de 11 mois, un enfant de 7 ans et une femme enceinte ont donc pu trouver un toit pour la nuit.
L'école du Gacet, où siègent diverses associations, n'est certes pas un lieu d'hébergement approprié. Ces nombreuses salles de classe vides ne peuvent servir que brièvement de lieu d'accueil et nous ne pensions pas devoir y rester. Nous souhaitions avant tout avoir l'autorisation provisoire d'investir les dix anciens logements de fonction, libres et sans attribution depuis plus de six mois, attenants à cette école.
Et réaffirmer, contrairement aux discours tenus, qu'ils existe des solutions d'hébergement non exploitées en dépit des urgences à satisfaire.
Bien que avertie dès notre arrivée de notre présence, la ville de Rennes n'a pas souhaitée nous contacter malgré notre insistance à vouloir rencontre l'élu de permanence.
Pas plus que dans la journée elle ne jugera utile de répondre aux sollicitations des journalistes présents.
Curieuse attitude que de ne pas vouloir constater officiellement une occupation quand dans le même temps on juge utile de faire déplacer deux cadres municipaux, sans mandat particulier, et une escorte de la police municipale.
Et surprenante idée que de venir avec les clefs des appartements convoités, d'en vérifier l'intégrité, avant même de se présenter ou d'établir un premier contact avec les éventuels occupants.
Penser qu'on puisse nous parler de non conformité des lieux, de possibles altérations de matériel pour promouvoir un retour à la rue sans condition, nous horrifie.
Nous agaçons particulièrement comme nous sommes particulièrement agacés du trop peu d'intérêt accordé aux personnes en situation d'extrême précarité.
Les réquisitions nous semblent appropriées dans un État de droit pour garantir la sécurité des personnes et leurs droits fondamentaux.
Le DAL 35 redemande, ici publiquement, leurs applications immédiates aux autorités concernées.
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