L'occupation n'aura durée que huit heures.
Le soir même, vers 21h00 toutes les personnes pour lesquelles nous réclamions un hébergement ont obtenu trois nuits d'hôtel. Une solution impossible à refuser pour quiconque dort à la rue.
Cette mobilisation concernait 13 demandeurs d'asile, 4 couples Chinois, une famille Géorgienne, et deux Afghans célibataires. Le groupe comptait 4 femmes enceintes et un bébé de 14 mois.
Cette proposition est indécente car comme pour les occupations précédentes, les autorités se gardent bien de promettre une suite éventuelle.
La Préfecture est visiblement restée intransigeante, aucune offre ne nous est parvenue.
La municipalité Rennaise a réaffirmé sa ferme intention de ne plus tolérer la moindre occupation de bâtiments municipaux et a menacé d'ordonner une expulsion, sans le faire..
Puis de loger très provisoirement les couples avec femmes enceintes et ceux avec enfants....
Nous avons refusé, non pas cette offre, mais d'évacuer les lieux s'il devait rester une ou plusieurs personne sans proposition.
Pour au final réserver des hôtels pour tout le monde...et donc indirectement de reconnaître le bien fondé de nos revendications, le droit immédiat à un hébergement pour tous.
Notamment pour les 150 à 200 personnes qui, chaque jour qui passe ,depuis des mois sur Rennes, dorment dans les rues de la ville, pour ne parler que des demandeurs d'asile.
Sans que l'État ou les collectivités s'en émeuvent ou ne songent simplement à appliquer la loi malgré les interpellations récurrentes des diverses organisations.
Le respect de la loi concernant les bâtiments municipaux est sacré. Celle pour les hommes aléatoire, au bon vouloir des donneurs d'ordres.
Les nuits d'hôtel ont-elles été uniquement accordées pour sauver l'inviolabilité d'un bâtiment ? Nous le saurons dès lundi soir....
Le soir même, vers 21h00 toutes les personnes pour lesquelles nous réclamions un hébergement ont obtenu trois nuits d'hôtel. Une solution impossible à refuser pour quiconque dort à la rue.
Cette mobilisation concernait 13 demandeurs d'asile, 4 couples Chinois, une famille Géorgienne, et deux Afghans célibataires. Le groupe comptait 4 femmes enceintes et un bébé de 14 mois.
Cette proposition est indécente car comme pour les occupations précédentes, les autorités se gardent bien de promettre une suite éventuelle.
La Préfecture est visiblement restée intransigeante, aucune offre ne nous est parvenue.
La municipalité Rennaise a réaffirmé sa ferme intention de ne plus tolérer la moindre occupation de bâtiments municipaux et a menacé d'ordonner une expulsion, sans le faire..
Puis de loger très provisoirement les couples avec femmes enceintes et ceux avec enfants....
Nous avons refusé, non pas cette offre, mais d'évacuer les lieux s'il devait rester une ou plusieurs personne sans proposition.
Pour au final réserver des hôtels pour tout le monde...et donc indirectement de reconnaître le bien fondé de nos revendications, le droit immédiat à un hébergement pour tous.
Notamment pour les 150 à 200 personnes qui, chaque jour qui passe ,depuis des mois sur Rennes, dorment dans les rues de la ville, pour ne parler que des demandeurs d'asile.
Sans que l'État ou les collectivités s'en émeuvent ou ne songent simplement à appliquer la loi malgré les interpellations récurrentes des diverses organisations.
Le respect de la loi concernant les bâtiments municipaux est sacré. Celle pour les hommes aléatoire, au bon vouloir des donneurs d'ordres.
Les nuits d'hôtel ont-elles été uniquement accordées pour sauver l'inviolabilité d'un bâtiment ? Nous le saurons dès lundi soir....
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