Ce vendredi 25 septembre 2009, vers midi, le collectif DAL35 accompagné de plusieurs personnes sans hébergement et occupe au 90 bd Villebois-Mareuil à Rennes, dans le quartier du cimetière de l'Est, une maison appartenant à la ville de Rennes.
Une petite partie de cette grande maison, frappée d'alignement, est actuellement utilisée comme vestiaires et lieu de cantine par quelques employés municipaux du cimetière voisin.
Qu'une telle maison, aménagée pour la circonstance et donc sécurisée, puisse servir uniquement d'algéco nous scandalise particulièrement.
En effet, nul n'est plus sans savoir, que depuis plusieurs mois, au minimum 150 personnes dont une trentaine d'enfants, dorment chaque nuit dans les rues de cette ville et ce malgré les obligations légales des services préfectoraux et municipaux, de fournir immédiatement des conditions d'accueil dignes d'un État de droit respectant les conventions nationales et internationales.
Nous rappelons que depuis plusieurs mois, nous ne cessons en vain d'interpeller par nos courriers et nos diverses actions, les autorités locales compétentes, directement ou indirectement, pour que celles-ci prennent en compte immédiatement, avant toute autre considération, le droit des personnes à vivre dignement sur ce territoire.
Une nouvelle fois, nous démontrons par cette occupation, qu'il n'y a pour résoudre cette crise humanitaire aucune absence matérielle de logements disponibles......
Nous vous appelons à venir nous soutenir sur les lieux mêmes de l'occupation.
Une petite partie de cette grande maison, frappée d'alignement, est actuellement utilisée comme vestiaires et lieu de cantine par quelques employés municipaux du cimetière voisin.
Qu'une telle maison, aménagée pour la circonstance et donc sécurisée, puisse servir uniquement d'algéco nous scandalise particulièrement.
En effet, nul n'est plus sans savoir, que depuis plusieurs mois, au minimum 150 personnes dont une trentaine d'enfants, dorment chaque nuit dans les rues de cette ville et ce malgré les obligations légales des services préfectoraux et municipaux, de fournir immédiatement des conditions d'accueil dignes d'un État de droit respectant les conventions nationales et internationales.
Nous rappelons que depuis plusieurs mois, nous ne cessons en vain d'interpeller par nos courriers et nos diverses actions, les autorités locales compétentes, directement ou indirectement, pour que celles-ci prennent en compte immédiatement, avant toute autre considération, le droit des personnes à vivre dignement sur ce territoire.
Une nouvelle fois, nous démontrons par cette occupation, qu'il n'y a pour résoudre cette crise humanitaire aucune absence matérielle de logements disponibles......
Nous vous appelons à venir nous soutenir sur les lieux mêmes de l'occupation.
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