Dal 35 : "La mairie va-t-elle laisser des femmes enceintes à la rue ?
Occupation du Dal 35 à l'école du Gacet
(archive Le Mensuel de Rennes)
Le Dal 35, militant pour le logement des demandeurs d'asile, occupe actuellement l'école du Gacet au sud de Rennes.
Faute de réponse de la préfecture, le collectif sollicite la municipalité. La réquisition des locaux municipaux agace sérieusement les élus.
« Plus personne ne nous répond. Nous n’avons plus aucune réponse d'aucun côté… », s’agace Yannic, militant du Dal 35.
Depuis cet été, l’association, en cours de création, cherche à loger les demandeurs d’asile. Faute de places dans les établissements d'urgence, la préfecture ne répond plus qu'aux demandes "d'extrême urgence". Le collectif estime qu’au moins 140 personnes dorment dans la rue à Rennes faute de place.
« Lorsque l’on parle réquisition et mise à disposition, personne ne nous répond », pointe le collectif.
La méthode agace sérieusement la municipalité. Nathalie Appéré, première adjointe au maire, rétorque : « Nous n'accepterons pas qu'au lieu de vous adresser directement aux autorités responsables, vous préfériez mettre en cause ceux qui font le maximum de ce qui est en leur pouvoir dans le cadre du droit. »
La réponse apportée par la municipalité sur l'occupation de ce mercredi devrait ressembler à celle d'il y a quelques semaines.
Les élus rennais avaient appelé les forces de l’ordre pour évacuer le Dal 35 de cette même école.
Les demandeurs d'asile sur place s'étaient vus proposer quelques nuits d'hôtel.
Occupation du Dal 35 à l'école du Gacet
(archive Le Mensuel de Rennes)
Le Dal 35, militant pour le logement des demandeurs d'asile, occupe actuellement l'école du Gacet au sud de Rennes.
Faute de réponse de la préfecture, le collectif sollicite la municipalité. La réquisition des locaux municipaux agace sérieusement les élus.
« Plus personne ne nous répond. Nous n’avons plus aucune réponse d'aucun côté… », s’agace Yannic, militant du Dal 35.
Depuis cet été, l’association, en cours de création, cherche à loger les demandeurs d’asile. Faute de places dans les établissements d'urgence, la préfecture ne répond plus qu'aux demandes "d'extrême urgence". Le collectif estime qu’au moins 140 personnes dorment dans la rue à Rennes faute de place.
« Lorsque l’on parle réquisition et mise à disposition, personne ne nous répond », pointe le collectif.
La méthode agace sérieusement la municipalité. Nathalie Appéré, première adjointe au maire, rétorque : « Nous n'accepterons pas qu'au lieu de vous adresser directement aux autorités responsables, vous préfériez mettre en cause ceux qui font le maximum de ce qui est en leur pouvoir dans le cadre du droit. »
La réponse apportée par la municipalité sur l'occupation de ce mercredi devrait ressembler à celle d'il y a quelques semaines.
Les élus rennais avaient appelé les forces de l’ordre pour évacuer le Dal 35 de cette même école.
Les demandeurs d'asile sur place s'étaient vus proposer quelques nuits d'hôtel.
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